"L'Union européenne devrait favoriser... l'utilisation des patrimoines criminels confisqués au bénéfice de la communauté" cit. Commission européenne contre le crime organisé

dimanche 15 mai 2011

A confisquer pour en faire un centre culturel

Le 25 mars, d'après la Provence, la justice française a mis en examen un home de 65 ans pour blanchiment et recel mais laissé libre.
La justice accuse ce Patron de la brasserie « La Belle Epoque », cours Mirabeau à Aix-en-Provence, d'être lié au clan Barresi-Campanella, démantelé lors d’une vaste opération en juin 2010. A cette occasion, les policiers avaient découvert au domicile de Bernard Barresi membre du crime organisé français des documents concernant des sociétés civiles immobilières contrôlées par le patron de ce café.

En Italie, la justice aurait mis sous séquestre les biens de la personne en question et aurait conduit des enquêtes poussées sur les biens appartenant aux proches. Puis à l'issu d'une procédure judiciaire, la confiscation aurait pu devenir effective. Enfin, on aurait pu faire de ce café (si il était prouvé que celui-ci est dans le giron du clan) un centre culturel, une école de la deuxième chance, une université contre le crime organisé cf. A la place du Kebab : un centre culturel)

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